Objets d’art, bijoux, tableaux et mobilier, design du 6 décembre 2025 Lot 74
Diplôme de Maître en date du 6 avril 1858 du Grand Orient de France. Dimensions : 24,5×36 cm. Dans un encadrement
Diplôme de Maître en date du 6 avril 1858 du Grand Orient de France. Dimensions : 24,5×36 cm. Dans un encadrement
Tablier ancien franc-maçon soie et fils d’or. Dimensions : 39×40 cm. Dans un encadrement
Diplôme maçonnique. Fait à Lyon le 14ème jour du 6ème mois de l’année 5827 de la Vraie Lumière (1827). Dimensions : 30,5×37 cm. Dans un encadrement
Diplôme de Maître 3ème degré en date du 20 avril 1865 à Lyon. Dimensions : 26,5×31,5 cm. Dans un encadrement
Certificat maître franc-maçon fait et délivré à Lyon le 12ème jour du 6ème mois de l’année de la Vraie Lumière 5818, soit le 12 août 1818 de l’ère vulgaire. Dimensions : 38,5×47 cm. Dans un encadrement
Certificat franc-maçon de l’Orient de Paris en date du 4ème jour du 6ème mois de l’an de la Vraie Lumière 5809, soit le 4 avril 1809. Dimensions : 40,5×48 cm. Dans un encadrement
Diplôme d’apprentis compagnon et maître en date du 1er jour du 12ème mois de l’An de la Vraie Lumière 5842 de la Loge de Saint-Jean de l’Orient de Lyon (1843). Dimensions : 40×42,5 cm. Dans un encadrement en l’état
Ciboire et sa patène en vermeil. Le calice richement décoré de rinceaux et d’arcatures fleurdelisés sur un pied polylobé et orné d’une croix émaillée bleu et rouge. La patène ciselée de l’Agneau nimbé et de l’inscription « AGNUS DEI PANIS VIVUS ». Poinçon : Minerve. Maître-orfèvre : Lucie Glodstein, Paris. Fin XIXème-Début XXème. Hauteur du calice : 25,5 cm. Diamètre de la patène : 14,8 cm. Poids total : 733 gr
Zacharie NICOLAY de Mirecourt (actif à Avignon de 1590 à 1620). La vie de Saint Charles Borromée. Toile Hauteur : 251 cm. Largeur : 201 cm. Sans cadre. Signé ZACHARIE NICOLEY / PINXIT ANNO 1616′ en bas à droite et au-dessus FRECHIER, probablement le nom du restaurateur. Accidents – Expert : Stéphane Pinta du Cabinet Turquin – L’essentiel de ce que nous savons sur Zacharie Nicolay est consigné dans le catalogue de l’exposition La Peinture en Provence au XVIe siècle, Paris, Editions Rivages – Musées de Marseille, 1987, pp. 27, 151, 152, 157,158, 208. Vers 1590, il quitte la Lorraine pour s’installer à Avignon où il se marie avec la fille du plus important peintre de cette ville, Pierre Duplan, en 1592. Le beau-père et le gendre décorent la Maison de la ville en 1608, et plusieurs archives documentent les nombreuses commandes d’œuvres religieuses que Nicolay reçoit en ce début du 17e siècle dans tout le Vaucluse, dont deux retables pour la citée de Mazan. Dans l’atelier de Duplan, Nicolay a rencontré, entre 1597 et 1600, un jeune apprenti, Quentin Varin (vers 1575 – 1626), qui ensuite se révélera un artiste important. Notre peinture s’ajoute aux deux œuvres déjà répertoriées et signées de sa main, un retable représentant la Vierge à l’Enfant entourée de saint Antoine et sainte Catherine d’Alexandrie, à l’église Notre-Dame de Venasque, ainsi qu’un Saint Michel à l’église de Malaucène, qui attestent de sa maîtrise des grands formats. Notre tableau constitue un rare témoignage de l’école provençale du début du XVIIe siècle, dans le style des peintres italiens de la Contre-Réforme, tels que Scipione Pulzone et Girolamo Muziano. La scène principale de notre tableau, entourée par un cadre à oves en trompe-l’œil, représente l’apparition de la Vierge à saint Charles Borromée, évêque de Milan et canonisé en 1610. C’est un saint protecteur de la peste. Tout autour, des scénettes illustrant des épisodes de sa vie témoignent d’une grande maîtrise de la perspective, de la représentation des foules et d’un réel sens animalier.
Très beau chapelet ancien en or 18k et perles de jais à facettes comprenant douze petites médailles religieuses et terminant par un Christ en croix de type « Cristo Vivo ». Certaines médailles sont des souvenirs de Notre-Dame de la Garde, de Notre-Dame de Lourdes, de Notre-Dame de Fourvières, de la basilique de Lorette, de l’église Saint-Alphonse-de-Liguori de Rome. Certaines sont signées Ludovic Pénin à Lyon, d’autres sont monogrammées LC. Milieu du XIXème siècle. Poids total : 59,17 gr. Poids approximatif des éléments en or : 20 gr. Dans un étui en cuir